[H2]Germanic & Celtic Peoples[\H2]
The Thing was the assembly of the free people of a country, province or a hundred. There were consequently hierarchies of Things, so that the local Things were represented at the higher-level thing, for a province or land. At the Thing, disputes were solved and political decisions were made. The place for the Thing was often also the place for public religious rites and for commerce.
The Thing met at regular intervals, legislated, elected chieftains and kings, and judged according to the law, which was memorized and recited by the "law speaker" (the judge). The Thing's negotiations were presided over by the law speaker and the chieftain or the king. In reality the Thing was of course dominated by the most influential members of the community, the heads of clans and wealthy families, but in theory one-man one-vote was the rule.
[H2]Greeks[\H2]
The Bouleuterion describes the place where the government and administrative work of the ancient Greek city states ("polis") was carried out. In Athens, the Bouleuterion was located on the "Areopagus" or "Ares Hill" and served as the meeting place for the "Bule", the "Council of 500", to debate current political issues in the polis. The Bule was divided into ten groups with 50 members each, each of which had a say for a tenth of the year. The members were assigned to the groups by lot and every day a new supreme councilor was chosen by lot to lead the council meeting.
[H2]Sparta[\H2]
The Gerusia (also Gerusie) was originally a council of elders in ancient Sparta, held in a building called Skias. It was an assembly of 28 male citizens of Sparta, the Gerontes, who were required to be at least 60 years old and who had already completed their state military service, as well as the two kings. The Gerusia was one of the three institutions of the Spartan constitution, alongside the Ephors, the five leading officials, and the Apella, the people's assembly. The appointed members were elected for life by the people's assembly.
[H2]Rome[\H2]
Before the first signs of democratization became apparent in ancient Rome in the 7th and 6th centuries BC, parallel to the Athenian development, kings who were simultaneously generals, priests and judges ruled. The ruler was supported or opposed by a Senate, consisting of an assembly of members of the noble families, and a people's assembly. Far-reaching political changes only occurred with the founding of the Roman Republic in 510 BC. The highest civil and military power was transferred to two officials who had to be re-elected every year and were later called consuls. However, as a result of the democratization efforts, domestic tensions arose between the nobility and the plebs. At the beginning of the conflict, the plebeians formed an assembly whose task was to appoint tribunes to protect the population. In the following period, a new political elite was formed from the leading noble and plebeian families. From this new upper class came both the officials (magistrates) elected annually by the people, who exercised executive power, and the 300 members of the Senate, who had an advisory function.
[H2]Hebrews[\H2]
The Sanhedrin was the high council of a Jewish religious and/or political authority. It was founded in Hellenistic times and continued until the 5th century. The assembly was headed by the hereditary high priest. | [H2]Tribus germaniques et Celtes[\H2]
Les décisions de la tribu étaient prises par tous les hommes libres et valides lors du Thing, l’assemblée du peuple. Tout le monde avait son vote. La Chose se tenait à heures fixes, à la nouvelle lune ou à la pleine lune, sans invitation ou en cas d'urgence avec convocation. Le fait que la lune ait joué un rôle était lié à la croyance selon laquelle elle avait une influence favorable sur certaines décisions. Le silence était de mise durant les négociations. La Chose se déroulait en plein air, généralement dans un lieu saint, était consacrée par un acte solennel et ainsi placée sous la paix des dieux. Une violation de la paix du Thing était un crime grave contre les dieux et était puni par les prêtres.
La Chose était initialement une assemblée militaire et décidait de la paix et de la guerre. L'assemblée était également chargée de la libération des personnes non libres et de leur intégration dans la société, de même qu'elle jugeait les délits graves tels que l'atteinte à l'ordre public, la trahison ou le sacrilège. Les votes sur les campagnes militaires et autres étaient décidés par des échanges de coups d'armes ou des murmures. Les tribus sans roi élisaient un duc comme commandant en chef en temps de guerre, tandis qu'en temps de paix, il n'y avait pas de chef.
[H2]Grecs[\H2]
Le Bouleutérion décrit le lieu où s'effectuaient le gouvernement et le travail administratif des cités-États grecques antiques ("polis"). À Athènes, le Bouleutérion était situé sur l'Aréopage ou la colline d'Arès et servait de lieu de réunion au "Bule", le Conseil des 500, pour débattre des questions politiques actuelles de la polis. La Bule était divisée en dix groupes de 50 membres chacun, chacun ayant son mot à dire pendant un dixième de l'année. Les membres étaient répartis dans les groupes par tirage au sort et chaque jour, un nouveau conseiller suprême était choisi par tirage au sort pour diriger la réunion du conseil.
[H2]Sparte[\H2]
La Gerusia (également Gerusie) était à l'origine un conseil d'anciens de l'ancienne Sparte, tenu dans un bâtiment appelé Skias. Il s'agissait d'une assemblée de 28 citoyens mâles de Sparte, les Gérontes, qui devaient être âgés d'au moins 60 ans et qui avaient déjà accompli leur service militaire d'État, ainsi que des deux rois. La Gérusie était l'une des trois institutions de la constitution spartiate, aux côtés des Éphores, les cinq hauts fonctionnaires, et de l'Apella, l'assemblée populaire. Les membres nommés ont été élus à vie par l’Assemblée du peuple.
[H2]Rome[\H2]
Avant l'Antiquité, la Rome antique s'est développée parallèlement à l'évolution athénienne aux VIIe et VIe siècles av. J.-C. Lorsque les premiers signes de démocratisation sont apparus, le pouvoir était dirigé par des rois qui étaient à la fois généraux, prêtres et juges. Le souverain était soutenu par un Sénat, composé d'une assemblée de membres des familles nobles, et d'une assemblée populaire. Des changements politiques de grande envergure ne se produisirent qu'avec la fondation de la République romaine en 510 av. J.-C. un. Le pouvoir civil et militaire le plus élevé fut transféré à deux fonctionnaires qui devaient être réélus chaque année et furent plus tard appelés consuls. Cependant, en raison des efforts de démocratisation, des tensions internes sont apparues entre la noblesse et la plèbe. Au début du conflit, les plébéiens formèrent une assemblée dont la tâche était de nommer des tribuns pour protéger la population. Au cours de la période suivante, une nouvelle élite politique s'est formée à partir des principales familles nobles et plébéiennes. De cette nouvelle classe supérieure provenaient à la fois les fonctionnaires (magistrats) élus annuellement par le peuple, qui exerçaient le pouvoir exécutif, et les 300 membres du Sénat, qui avaient une fonction consultative.
[H2]Hébreux[\H2]
Le Sanhédrin était le Haut Conseil d’un organisme religieux et/ou politique juif. Elle a été fondée à l'époque hellénistique et a perduré jusqu'au Ve siècle. À la tête de l’assemblée se trouvait le grand prêtre héréditaire. | [H2]Germanen & Kelten[\H2]
Entscheidungen des Stammes wurden von allen freien und waffenfähigen Männern auf dem Thing, der Volksversammlung entschieden. Jeder hatte eine Stimme. Das Thing wurde zu festen Zeiten, bei Neumond oder Vollmond ohne Einladung oder in Notfällen mit Ladung abgehalten. Das der Mond mitspielte, hatte mit dem Glauben daran zu tun, das er auf gewisse Entscheidungen einen günstigen Einfluss nahm. Während der Verhandlungen war Schweigen geboten. Das Thing fand im Freien, meist an einer heiligen Stätte statt, wurde durch einen feierlichen Akt geweiht und damit unter den Götterfrieden gestellt. Eine Verletzung des Thingfriedens war ein schwerer Frevel gegen die Götter und wurde durch die Priester bestraft.
Das Thing war zunächst eine Heeresversammlung und entschied über Frieden und Krieg. Auch die Freilassung von Unfreien und ihre Eingliederung in die Gesellschaft oblag der Versammlung, genauso wie hier über schwere Vergehen gerichtet wurde, wie etwa Friedensbruch, Landverrat oder Götterfrevel. Die Abstimmungen über Kriegszüge und ähnliches wurden durch Waffenzusammenschlagen oder Murren entschieden. Die Stämme ohne König wählten sich in Kriegszeiten einen Herzog, als Oberbefehlshaber, während in Friedenszeiten ein Oberhaupt fehlte.
[H2]Griechen[\H2]
Das Buleuterion beschreibt den Ort, an dem die Regierungs- und Verwaltungsarbeit der antiken griechischen Stadtstaaten ("Polis") ausgeführt wurde. In Athen befand sich das Buleuterion auf dem "Areopag" oder auch "Ares-Hügel" und diente als Tagungsort für die "Bule", den "Rat der 500", um über tagespolitische Themen der Polis zu debattieren. Die Bule war in zehn Gruppen mit je 50 Mitgliedern unterteilt, von denen jede ein Zehntel des Jahres das Sagen hatte. Die Zuordnung der Mitglieder zu den Gruppen erfolgte per Losverfahren und jeden Tag wurde ebenfalls per Losverfahren ein neuer oberster Ratsherr bestimmt, der die Ratsversammlung leitete.
[H2]Sparta[\H2]
Die Gerusia (auch Gerusie) war ursprünglich ein Ältestenrat im antiken Sparta, abgehalten in einem Gebäude namens Skias. Es war eine Versammlung von 28 männlichen Bürgern Spartas, den Gerontes, welchen ein Mindestalter von 60 Jahren vorgeschrieben wurde und die ihren staatlichen Militärdienst bereits absolviert hatten, dazu die beiden Könige. Die Gerusia bildete eine der drei Institutionen der Verfassung Spartas, neben den Ephoren, den fünf leitenden Beamten, und der Apella, der Volksversammlung. Die eingesetzten Mitglieder wurden auf Lebenszeit von der Volksversammlung gewählt.
[H2]Rom[\H2]
Bevor sich im antiken Rom parallel zur athenischen Entwicklung im 7. und 6. Jahrhundert v.Chr. erste Anzeichen einer Demokratisierung bemerkbar machten, regierten zunächst Könige, die gleichzeitig Feldherrn, Priester und Richter waren. Dem Herrscher zur Seite bzw. gegenüber standen ein Senat, bestehend aus einer Versammlung von Mitgliedern der adeligen Familien, und einer Volksversammlung. Weitreichende politische Veränderungen traten erst mit der Gründung der römischen Republik im Jahre 510 v.Chr. ein. Die höchste zivile und militärische Gewalt ging auf zwei Beamte über, die jährlich neu gewählt werden mussten und später Konsuln genannt wurden. Als Folge der Demokratisierungsbemühungen ergaben sich allerdings innenpolitische Spannungen zwischen Adel und Plebs. Zu Beginn der Auseinandersetzungen konstituierten sich die Plebejer zu einer Versammlung, deren Aufgabe es war, Volkstribunen zum Schutze der Bevölkerung zu ernennen. In der Folgezeit formierte sich eine neue politische Elite aus den führenden adeligen und plebejischen Familien. Dieser neuen Oberschicht entstammten sowohl die jährlich vom Volk gewählten Beamte (Magistrate), die die Exekutive ausübten, als auch die 300 Mitglieder des Senats, denen eine beratende Funktion zukam.
[H2]Hebräer[\H2]
Der Sanhedrin war der Hohe Rat einer jüdisch religiösen und/oder politischen Instanz. Es ist in hellenistischer Zeit begründet und bis ins 5. Jahrhundert fortgeführt worden. An der Spitze der Versammlung stand der erbliche Hohepriester. | [H2]Tribù germaniche e Celti[\H2]
Le decisioni della tribù venivano prese da tutti gli uomini liberi e abili al Thing, l'assemblea del popolo. Tutti avevano diritto al voto. Il Thing si teneva in momenti prestabiliti, durante la luna nuova o piena, senza invito, oppure in caso di emergenza, dietro convocazione. Il fatto che la luna avesse un ruolo era legato alla convinzione che essa avesse un'influenza favorevole su determinate decisioni. Durante le trattative era obbligatorio il silenzio. Il Thing si svolgeva all'aperto, solitamente in un luogo sacro, ed era consacrato con un atto solenne e quindi posto sotto la pace degli dei. La violazione della pace del Thing era un crimine grave contro gli dei e veniva punito dai sacerdoti.
Inizialmente la Cosa era un'assemblea militare e decideva sulla pace e sulla guerra. L'assemblea era inoltre responsabile della liberazione delle persone non libere e della loro integrazione nella società, così come giudicava reati gravi come la violazione della pace, il tradimento o il sacrilegio. Le votazioni sulle campagne militari e simili venivano decise con scontri a fuoco o mormorii. Le tribù senza re eleggevano un duca come comandante in capo in tempo di guerra, mentre in tempo di pace non c'era alcun capo.
[H2]Greci[\H2]
Il Bouleuterion descrive il luogo in cui si svolgevano il governo e l'attività amministrativa delle antiche città-stato greche ("polis"). Ad Atene, il Bouleuterion era situato sull'"Areopago" o "Collina di Ares" e fungeva da luogo di incontro del "Bule", il "Consiglio dei 500", per discutere le questioni politiche correnti della polis. Il Bule era diviso in dieci gruppi da 50 membri ciascuno, ognuno dei quali aveva voce in capitolo per un decimo dell'anno. I membri venivano assegnati ai gruppi tramite estrazione a sorte e ogni giorno veniva scelto, sempre tramite estrazione a sorte, un nuovo consigliere supremo per presiedere la riunione del consiglio.
[H2]Sparta[\H2]
La Gerusia (anche Gerusie) era originariamente un consiglio di anziani nell'antica Sparta, che si riuniva in un edificio chiamato Skias. Si trattava di un'assemblea di 28 cittadini maschi di Sparta, i Geronti, che dovevano avere almeno 60 anni e aver già completato il servizio militare statale, oltre ai due re. La Gerusia era una delle tre istituzioni della costituzione spartana, insieme agli Efori, i cinque alti funzionari, e all'Apella, l'assemblea popolare. I membri nominati venivano eletti a vita dall’Assemblea Popolare.
[H2]Roma[\H2]
Prima che l'antica Roma si sviluppasse parallelamente allo sviluppo ateniese nel VII e VI secolo a.C. Quando si manifestarono i primi segni di democratizzazione, al potere c'erano re che erano allo stesso tempo generali, sacerdoti e giudici. Il sovrano era sostenuto da un Senato, composto da un'assemblea di membri delle famiglie nobili, e da un'assemblea popolare. Cambiamenti politici di vasta portata si verificarono solo con la fondazione della Repubblica Romana nel 510 a.C. UN. Il massimo potere civile e militare fu trasferito a due funzionari che dovevano essere rieletti ogni anno e che in seguito furono chiamati consoli. Tuttavia, come conseguenza degli sforzi di democratizzazione, emersero tensioni interne tra la nobiltà e la plebe. All'inizio del conflitto, la plebe formò un'assemblea il cui compito era quello di nominare dei tribuni per proteggere la popolazione. Nel periodo successivo si formò una nuova élite politica composta dalle principali famiglie nobili e plebee. Da questa nuova classe superiore provenivano sia i funzionari (magistrati) eletti annualmente dal popolo, che esercitavano il potere esecutivo, sia i 300 membri del Senato, che avevano una funzione consultiva.
[H2]Ebrei[\H2]
Il Sinedrio era l'Alto Consiglio di un organismo religioso e/o politico ebraico. Fu fondata in epoca ellenistica e continuò a esistere fino al V secolo. A capo dell'assemblea c'era il sommo sacerdote ereditario. | [H2]Pueblos germánicos y celtas[\H2]
Un thing era la asamblea de gobierno en las sociedades de las tribus germanas, formada por los hombres libres de la comunidad y presidida por lagmans. Hoy en día el término continúa en los nombres oficiales de los legislaturas nacionales e instituciones políticas o judiciales en los países norgermánicos. La palabra inglesa thing (cosa, objeto) está etimológicamente relacionada con este término.
En la cultura de Escandinavia, en los clanes nórdicos precristianos, los miembros de un clan estaban obligados a vengar los daños contra sus pariente muertos o mutilados. Una estructura equilibrada era necesaria para reducir los feudos tribales y evitar la anarquía social. En las culturas norgermánicas el thing era la institución que equilibraba esto, a pesar de que otras asambleas similares son señaladas para otros pueblos germanos.
El thing era la asamblea de los hombres libres de un país, provincia o (hundare/härad/herred). Consecuentemente, había jerarquías en los thing, de modo que los thing locales estaban representados en el thing de un área mayor. En los thing eran solucionadas las disputas y se tomaban las decisiones políticas. El lugar donde se celebraba éste era generalmente también el lugar para los ritos religiosos públicos y el comercio.
El thing se reunía a intervalos regulares, legislados por caciques electos y reyes germanos, y juzgaban conforme a la ley, que era memorizada y recitada por un lagman (el juez). Las negociaciones eran presididas por el lagman y el cacique o por el rey. En realidad, el thing estaba dominado por los miembros más influyentes de la comunidad, las cabezas de los clanes y familias ricas, pero en teoría la regla era: un hombre, un voto. Un famoso incidente tuvo lugar cuando Thorgnýr el Lagman le dijo al rey sueco Olaf el Tesorero que era la gente la que tenía el poder en Suecia, y no el rey. Éste se dio cuenta de que era impotente frente al thing y admitió la derrota.
[H2]Griegos[\H2]
El Bouleuterion describe el lugar donde se llevaba a cabo el gobierno y el trabajo administrativo de las antiguas ciudades-estado griegas ("polis"). En Atenas, el Bouleuterion estaba situado en el "Areópago" o "Colina de Ares" y servía como lugar de reunión del "Bule", el "Consejo de los 500", para debatir cuestiones políticas actuales de la polis. El Bule se dividió en diez grupos de 50 miembros cada uno, cada uno de los cuales tenía voz y voto durante una décima parte del año. Los miembros fueron asignados a los grupos por sorteo y cada día se elegía por sorteo un nuevo consejero supremo para dirigir la reunión del consejo.
[H2]Esparta[\H2]
La Gerusia (también Gerusie) era originalmente un consejo de ancianos en la antigua Esparta, celebrado en un edificio llamado Skias. Se trataba de una asamblea de 28 ciudadanos varones de Esparta, los gerontes, que debían tener al menos 60 años y que ya hubieran cumplido el servicio militar estatal, además de los dos reyes. La Gerusia era una de las tres instituciones de la constitución espartana, junto con los Éforos, los cinco altos funcionarios, y la Apella, la asamblea popular. Los miembros designados fueron elegidos vitalicios por la Asamblea Popular.
[H2]Roma[\H2]
Antes de la antigua Roma se desarrolló en paralelo a los desarrollos atenienses en los siglos VII y VI a.C. Cuando comenzaron a aparecer los primeros signos de democratización, gobernaban reyes que eran al mismo tiempo generales, sacerdotes y jueces. El gobernante contaba con el apoyo de un Senado, formado por una asamblea de miembros de las familias nobles, y una asamblea popular. Los cambios políticos de gran alcance sólo ocurrieron con la fundación de la República Romana en el año 510 a. C. a. El máximo poder civil y militar fue transferido a dos funcionarios que debían ser reelegidos anualmente y que más tarde fueron llamados cónsules. Sin embargo, como resultado de los esfuerzos de democratización, surgieron tensiones internas entre la nobleza y la plebe. Al comienzo del conflicto, los plebeyos formaron una asamblea cuya tarea era nombrar tribunos para proteger a la población. En el período siguiente, se formó una nueva élite política formada por las principales familias nobles y plebeyas. De esta nueva clase alta provenían tanto los funcionarios (magistrados) elegidos anualmente por el pueblo, que ejercían el poder ejecutivo, como los 300 miembros del Senado, que tenían una función consultiva.
[H2]Hebreos[\H2]
El Sanedrín era el Alto Consejo de un cuerpo religioso y/o político judío. Fue fundada en época helenística y continuó existiendo hasta el siglo V. A la cabeza de la asamblea estaba el sumo sacerdote hereditario. |